À quoi Jésus ressemblait-t-il ?

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Un artiste représentant le Christ
Un artiste représentant le Christ

Il y a aujourd’hui une multiplicité de représentations et de portraits de Jésus. Mais y a-t-il vraiment un portrait du Christ ? La Parole de Dieu et les données de l’histoire nous en fournissent-elles ? Dans cet article, nous revisitons toutes questions autour du vrai portrait du Christ.

Que nous dit l’Écriture Sainte du physique de Jésus ?

L’Écriture ne nous donne de Jésus aucun portrait physique

Nous savons que Jésus est « l’image du Dieu invisible » (Col 1,15) et nous nous rappelons qu’il a dit que « quiconque m’a vu a vu le Père » (Jn 14,9).

Toutefois, il faut bien souligner qu’aucun des quatre évangélistes n’a décrit l’apparence qu’avait Jésus. Nous ne connaissons ni sa taille, ni son poids, ni son teint, ni la couleur de ses yeux ou celle de ses cheveux. Ces détails ne sont donc pas importants pour nous permettre de comprendre qui est le Christ Seigneur. En effet, si de telles précisions avaient été utiles pour nous, alors l’Écriture les aurait relatées et nous aurions aujourd’hui la description physique de Jésus. En fait, savoir ce à quoi ressemblait le Christ importe moins que de connaître son identité. Or, celle-ci se révèle à travers ce qu’il a dit ou fait : il est le Sauveur du monde.

Grâce aux Évangiles, on connaît juste quelques détails sur sa condition physique (ex : « Jésus, fatigué par la route… » Jn 4,6) ou sur les vêtements qu’il portait.
Voyons plus en détail ce qui nous est rapporté à propos de l’apparence de Jésus.

Dans l’Ancien Testament, Isaïe, après avoir annoncé un serviteur « défiguré », « ne ressemblant plus à un homme » (Is 52,14) nous dresse un portrait « en négatif » du Messie d’Israël : « il était sans apparence ni beauté qui attire nos regards, son aspect n’avait rien pour nous plaire » (Is 53,2). Ne nous méprenons pas : Isaïe ne nous dit pas que le Messie qui devait venir serait laid mais juste qu’il ne possèderait pas d’attributs physiques que le monde trouverait attrayants. Le Messie serait donc une personne d’apparence ordinaire, une personne somme toute normale ; comme le dira plus tard saint Paul, un homme « devenu semblable aux hommes, reconnu homme à son aspect » (Ph 2,7).

Une vision apocalyptique de Jean nous livre, dans un langage figuré, ce portrait :  

« Je me retournai pour regarder quelle était cette voix qui me parlait. M’étant retourné, j’ai vu sept chandeliers d’or, et au milieu des chandeliers un être qui semblait un Fils d’homme, revêtu d’une longue tunique, une ceinture d’or à hauteur de poitrine ; sa tête et ses cheveux étaient blancs comme la laine blanche, comme la neige, et ses yeux comme une flamme ardente ; ses pieds semblaient d’un bronze précieux affiné au creuset, et sa voix était comme la voix des grandes eaux ; il avait dans la main droite sept étoiles ; de sa bouche sortait un glaive acéré à deux tranchants. Son visage brillait comme brille le soleil dans sa puissance. »

Naturellement, il ne faut pas prendre cette description dans un sens littéral. Ici, Jean décrit moins le visage réel du Christ que sa nature divine et les attributs que celle-ci comporte.

Les Évangiles nous fournissent quelques détails vestimentaires

L’Écriture Sainte nous donne là encore de rares renseignements mais le peu qui nous soit rapporté semble témoigner que les vêtements de Jésus étaient tout à fait conformes à ceux que portaient les juifs de ce temps.
Bébé, il nous est décrit comme étant « emmailloté » (Lc 2,12).

Des propos de Jean le Baptiste nous font penser que Jésus était chaussé de sandales (Mc 1,7) même si le Seigneur donne plus tard la consigne à ses disciples de voyager pieds nus avec le minimum : « ne portez ni bourse, ni sac, ni sandales » (Lc 10,4).
Le récit du miracle de la femme hémorroïsse nous apprend que le vêtement de Jésus comportait une frange, à moins que l’évangéliste ne désigne ainsi le bord du tissu (Mt 9, 20-22)

Saint Matthieu nous relate la Transfiguration de Jésus en précisant que « son visage devint brillant comme le soleil, et ses vêtements, blancs comme la lumière » (Mt 17,2). Marc précise que ses vêtements « devinrent resplendissants, d’une blancheur telle que personne sur terre ne peut obtenir une blancheur pareille. » (Mc 9,3).

Après son procès, les soldats « lui enlevèrent ses vêtements et le couvrirent d’un manteau rouge » (Mt 27,28), sans doute une « chlamyde » ou un « sagum » comme le précise d’ailleurs la Bible de Jérusalem, c’est-à-dire le manteau court que portaient les soldats romains. Saint Jean situe lui le dépouillement des vêtements au pied de la croix. Il précise qu’on a fait quatre parts des vêtements de Jésus et que celles-ci ont été tirée au sort par les soldats, à l’exception de sa tunique, « une tunique sans couture, tissée tout d’une pièce de haut en bas » (Jn 19,23).

Une description extrabiblique sans réelle valeur historique

Publius Lentulus, qui aurait été gouverneur de Judée avant Ponce Pilate, donne dans une de ses lettres au Sénat romain une description de Jésus. Mais le ton manifestement chrétien de cette « lettre » laisse plutôt penser qu’il s’agit d’un texte apocryphe. Toutefois, cette description a été très largement diffusée dans les milieux chrétiens jusque récemment et celle-ci a sans doute servi pour la conception de bien des portraits artistiques de Jésus :

« Lentulus, gouverneur des Hiérosolymitains pour le Sénat et le Peuple romains, salutations. Il est apparu dans notre temps, et il y vit toujours, un homme de grande puissance, appelé Jésus-Christ. Les gens l’appellent le prophète de la vérité ; ses disciples, le fils de Dieu. Il ressuscite les morts et guérit les infirmités. Il est un homme de taille moyenne ; il a un aspect vénérable, que peuvent aimer et craindre ceux qui le regardent. Ses cheveux sont de la couleur de la noisette à peine mûre, droits vers les oreilles, mais en dessous sont ondulés et frisés, aux reflets brillants, flottants sous ses épaules. Ils sont séparés en deux sur le dessus de la tête, à la manière des Nazaréens. Son front est lisse et serein avec un visage sans ride ni tache, embelli par un teint légèrement rosé. Son nez et sa bouche sont parfaits. Sa barbe est abondante, de la couleur des cheveux, peu longue mais divisée sur le menton. Son aspect est simple et mûr, ses yeux sont chatoyants et brillants. Il est terrible dans ses réprimandes, doux et aimable dans ses exhortations, jovial, sans perte de sérieux. On ne l’a jamais vu rire, mais souvent pleurer. Sa stature est droite, les mains et les bras beaux à voir. Sa conversation est profonde, peu fréquente et modeste. Il est le plus beau parmi les enfants des hommes. »

« Tu es beau comme aucun des enfants de l’homme », repris par Lentulus, est déjà ce que chantait le psalmiste (Ps 44,2) évoquant les noces du Roi-Messie avec Israël.

Synthèse des données sur le portrait de Jésus ?

Jésus était un sémite de son temps

Jésus était un Galiléen, originaire d’une région située au nord de l’actuel état d’Israël, à l’est de la Méditerranée. Il était donc originaire du Proche-Orient. Jésus était donc un Asiatique. Il appartenait à un peuple d’origine sémite (littéralement, un peuple descendant de Sem, un des trois fils de Noé) ; il n’était donc ni un Européen ni un Africain.

En tant que sémite, il devait vraisemblablement ressembler à n’importe quel autre homme juif de son époque et de sa région. Il avait très probablement un teint foncé – bien plus foncé que la majorité des Européens – et des yeux noirs. Selon les données archéologiques, il mesurait probablement entre 1,50 et 1,70 mètre et devait peser environ 60-70 kg. Comme Jésus a travaillé à l’extérieur comme charpentier jusque vers l’âge de trente ans, on peut supposer qu’il était musclé et en bonne condition physique ; il devait avoir un visage tanné par le soleil. Comme son ADN provenait à 100% de sa mère, Marie, leur ressemblance devait être frappante.

Mais ce ne sont là que des conjectures. Si Jésus avait eu un signe physique particulier, Judas n’aurait pas eu à indiquer aux soldats qui était Jésus : « Celui qui le livrait leur avait donné un signe : « Celui que j’embrasserai, c’est lui : arrêtez-le. » (Mt 26,48). Si Jésus s’était distingué physiquement de ses disciples par sa taille, la couleur de sa chevelure ou que sais-je encore, les soldats auraient en effet été en mesure de l’identifier eux-mêmes. Même Marie Madeleine ne le reconnaît pas au matin de Pâques : elle le prend pour un simple jardinier (Jn 20,14-15). Est-ce à dire que la douleur de la mort de Jésus l’aveugle ou que les traits de Jésus ressuscité avaient changé ? Même les disciples avec qui il marche vers Emmaüs, des « esprits sans intelligence » dotés de « cœurs lents à croire », ne vont le reconnaître que tardivement, lorsqu’il leur rompra le pain (Lc 24,13-31).

Donc Jésus n’était pas noir ?

Nous savons qu’il y a des groupes qui revendiquent aujourd’hui le fait que Jésus aurait été noir voire même qui en font carrément un Africain de naissance. Même si Jésus a passé quelques mois de sa vie en Égypte – et donc sur le continent africain – affirmer que Jésus était un noir africain est un enseignement totalement contraire aux Écritures : celles-ci attestent de l’appartenance de Jésus au peuple juif et à son héritage. Il en va de même de ceux qui voudraient que le Messie ait été jaune, blanc, rouge ou que sais-je encore ? Ce sont souvent des récupérations ethnico-politiques bien éloignées des préoccupations religieuses.

En se focalisant sur la pigmentation de la peau, on risque tout simplement de passer à côté de l’essentiel : le message et la mission du Christ qui transcende toute couleur de peau. Polémiquer sur le fait que Jésus était d’une couleur ou d’une autre, encore une fois, c’est perdre son temps à spéculer sur des informations qui ne se trouvent pas dans les Écritures. Ces spéculations, inutiles et vaines, doivent être évitées (1 Tim 1,4 ; Ti 3,9) car la couleur de peau de Jésus n’a vraiment aucune importance dans le plan de rédemption (Ep 1,7 ; Col 1,14) pas plus que n’a d’importance la couleur de peau de celui qui reçoit le message du Christ. Jésus est le Sauveur « de toutes les nations » (Mt 28,19 ; Ga 3,8). Toute personne, quelle que soit sa couleur de peau, sa race, son ethnie ou sa nationalité peut faire l’expérience de la rencontre avec Jésus.

Les statues, les images, les photos que nous avons de Jésus sont-elles fidèles ?

Nous avons déjà dit que les écrivains ne nous ont transmis aucune description fiable de Jésus.

Nous n’avons aucun portrait fait du vivant de Jésus

Parallèlement aux Saintes Écritures, il nous faut aussi admettre que nous n’avons pas plus de portrait qui aurait été peint ou sculpté du vivant de Jésus. Et cela n’est guère étonnant.

Jésus, même s’il était de lignée royale, était issu d’un milieu social modeste. Artisan charpentier de formation, il faisait partie du « petit peuple », de la « classe moyenne » comme nous le dirions aujourd’hui. Près de dix-huit siècles avant l’invention de la photographie, il n’était pas d’usage alors de « se faire tirer le portrait » d’autant plus que les Juifs se méfiaient des représentations faites de main d’homme comme celles qui étaient utilisées par les occupants romains, frappées sur les monnaies ou érigées en statues, et que les juifs jugeaient idolâtres.

Il ne serait donc venu à l’idée de personne, pas même des disciples de Jésus, de faire sculpter de son vivant un buste de lui en marbre ! Cela ne faisait absolument pas partie de la culture juive. De plus, il ne faut pas oublier que Jésus était considéré par beaucoup de ses contemporains comme un simple rabbin un peu marginal.

Aucun portrait n’a donc été réalisé du vivant de Jésus : ni dessin, ni statue et encore moins de photographie.

Le suaire de Turin est peut-être une image du Christ

Nous connaissons toutefois une image troublante qui peut être une image de Jésus : celle du suaire de Turin. Il s’agit de l’image d’un corps supplicié qui est visible recto verso sur un grand linceul. Cette image, dont la formation reste encore aujourd’hui mystérieuse, évoque tous les sévices de la Passion de Jésus telle que relatée par les Évangiles : les coups de fouet, la couronne d’épines, les clous, le coup de lance… Ce linge est vénéré depuis des siècles par les chrétiens, il est toujours étudié par les scientifiques dont les conclusions, il faut bien l’avouer, ont été parfois contradictoires. En revanche, si l’Église permet la vénération de ce tissu, elle ne s’est jamais prononcée sur l’authenticité du linceul.

Si ce linceul a bien été celui de Jésus, alors nous possédons de lui un portrait mortuaire, un portrait vraisemblablement « acheiropoïète », c’est-à-dire non fait de main d’homme !

Les représentations artistiques sont variées et libres

Depuis les débuts du christianisme, il existe une incroyable variété de représentations du Christ à travers l’art sous des traits variés.
La plus ancienne représentation est un graffiti satirique du 2e siècle ; il a été réalisé sur la colline du Palatin à Rome.

À partir du 3e siècle, d’abord dans les catacombes puis dans le monde byzantin, nous commençons à avoir les premières représentations de Jésus. Sous forme de dessins, de peintures, de mosaïques, de sculptures… ces images évoluent selon les époques mais on y retrouve souvent des traits communs : un homme mature, au nez fin, barbu, aux cheveux longs, séparés au milieu par une raie.

Toutes ces images de Jésus proviennent de l’imagination, de l’inspiration, de la culture et du talent de nombreux artistes. Leur but n’est bien sûr pas de représenter fidèlement le portrait de Jésus sous les traits qui pouvaient être les siens puisque nul ne les connaît. En revanche, ils veulent ainsi nous partager leur vision de Jésus.

On peut s’émouvoir de la prolifération de représentations où Jésus apparaît sous des traits européens, voire même parfois ceux d’un homme blond aux yeux bleus, un type « hollywoodien » très éloigné du type racial dominant dans la région du monde où le Christ a évolué.

En fait, les artistes représentent souvent Jésus sous les traits qui leur sont culturellement familiers. Faute de description physique, ils s’imaginent que le Fils de l’Homme est l’un d’entre eux et on ne peut pas leur en vouloir. Jésus sera ainsi représenté sous les traits d’un Européen en Europe, d’un Hispanique en Amérique latine, d’un Arabe ailleurs…
Cela n’est d’ailleurs pas gênant de représenter Jésus sous des traits variés tant que nous comprenons que toute représentation comporte en elle-même ses propres limites. Mieux, cette variété de représentations nous permet de ne pas transformer notre portrait favori de Jésus en idole et nous permet de mesure un peu l’universalité du Christ et de son message.

Le fait que nous n’avons ni description physique ni portrait authentique doit nous servir de mise en garde contre une forme d’arrogance : personne ne peut revendiquer avoir un « vrai » portrait de Jésus, personne n’est autorisé à s’approprier Jésus au service de ses propres valeurs culturelles.

Une tentative de portrait-robot en 3D

Des scientifiques britanniques et israéliens, spécialistes en anthropologie médico-légale, se sont livrés à une tentative de restitution numérique d’un visage de Jésus mais leur tâche a été rendue difficile par le fait qu’il n’existe bien sûr ni squelette, ni aucun reste corporel ni même de traces d’ADN. Ils se sont donc servis de données culturelles et archéologiques au croisement de la génétique, de la primatologie, de la paléoanthropologie, de l’ostéologie…

À partir de trois crânes sémites de l’époque de Jésus, les chercheurs ont procédé à une reconstruction numérique 3D de l’ensemble du visage : les os, les muscles, le nez, les paupières… Pour les cheveux et la coloration de la peau, les scientifiques ont eu recours à des dessins trouvés sur divers sites archéologiques représentant des juifs de cette époque. Ils ont opté pour des yeux sombres et le port d’une barbe. En revanche, contrairement au suaire de Turin où le supplicié a les cheveux longs, les chercheurs ont retenu pour ce portrait des cheveux courts avec des boucles serrées. Saint Paul écrit en effet « la nature elle-même ne vous enseigne-t-elle pas que, pour un homme, il est déshonorant d’avoir les cheveux longs » (1Co 11,14) et les dessins de l’époque attestent que les hommes de cette époque portaient plutôt des cheveux courts.

L’auteur aboutit en quelque sorte à un portrait-robot artificiel, assez banal, d’un Galiléen du premier siècle.

Ne connaîtrons-nous jamais le visage de Jésus ?

Dans ce monde, nous ne croiserons peut-être jamais le Seigneur physiquement. Mais nous savons que nous sommes appelés à voir un jour le Fils de Dieu tel qu’il est (1 Jn 3,2) ; nous sommes même appelés à devenir semblables à lui.

En attendant son visage, à la fois visible et invisible dans l’Eucharistie, nous reste caché. Dans l’adoration eucharistique, nous contemplons sa face cachée sous les espèces du pain. Nous pouvons aussi voir le visage de Jésus dans celui de nos frères, du pauvre que nous croisons, du malade, de l’infirme, de l’immigré, du marginal, de la veuve, de l’orphelin, du chômeur, du vieillard, du prisonnier, du persécuté.

Si nous voulons savoir à quoi ressemble Jésus, il nous suffit de regarder les plus petits que le monde rejette (Mt 25,31-40) auxquels Jésus s’est toujours identifié.

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Frère Hervé

Je suis un religieux ermite, consacré dans cette forme de vie par mon évêque. Je réside en France et suis passionné par la recherche de la Vérité dans l’Écriture sainte, dans la philosophie et la théologie.

Cet article a 6 commentaires

  1. Marie-C Bertrand

    Bel article, merci pour cette profondeur de pensée et de Foi.
    Peu importe l’apparence de Jesus, il est dans nos coeurs. Peut-on faire le portrait de l’amour absolu?

  2. Rock Langlois

    Jésus était un descendant de David. Ce qui me laisse a penser que Jésus était légèrement plus pâle que la moyenne des juifs de ce temps là. Selon l’Ancien Testament David était décrit comme étant roux aux yeux bleus. (Ce qui peut supposer des châtains et des blonds dans le lignage.) Il se peut que certains de ses descendants est garder ce phénotype là ? Vu qu’a cette époque ils se devaient peut-être de gardé la lignée assez pure parce que de la lignée de David devait naître le Messie. Très bel article et bien écrit.

    1. Loumouangani Jérôme Grâce

      Jésus n’était pas descendant biologique de David, mais plutôt descendant adoptif par Joseph qui était lui son père adoptif.

  3. Loumouangani Jérôme Grâce

    Salut frère Hervé ! J’ai l’impression que vous avez oublié certaines portrait sont issus des visions ou révélations comme le cas de Catherine à qui jésus demande de graver l’icône de la sainte face sur la médaille et il y’en peut être d’autres.
    Et moi-même j’ai fait un rêve où Jésus m’est apparu à l’intérieur de notre église. Ce rêve me paraissait comme une réalité à tel point jusqu’aujourd’hui je retiens les détails de son visage et je compare au visage du portrait de Jésus de la Divine miséricorde. Mais, sauf que dans mon rêve, jésus avait les yeux bleus et verts et le reste des détails je ne les garde. Merci

  4. Marie

    Bonjour frère Hervé. J’ai lu un de vos articles sur lequel je suis tombée par hasard en cherchant réponse à une préoccupation. Malheureusement je n’ai pas encore d’orientation claire par rapport à ma procuration. J’aimerais savoir s’il est possible de vous parler (écrire) hors forum, s’il vous plaît?

  5. leila mouawad

    je me rappelle avoir lu depuis longtemps ,qu’un juif de l’époque du christ qui était de passage dans un lieu où Jésus était entrain de parler et il l’avait dit que c’était un homme qui avait les cheveux clair et les yeux verts très captivants et ayant une très grande force de caractère .

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