Puis-je écouter et danser la musique moderne ?

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Salle de danse

La musique moderne envahit tous les coins et ménages. Ils sont extrêmement rares ceux qui ne connaissent aucun chant du monde. Il y en a pour tous les goûts, des plus doux aux plus rythmés. Le chrétien peut-il chanter les chants du monde ? Peut-il danser la danse mondaine ? Nous voulons y apporter une réponse claire.

Beaucoup demandent s’il est possible qu’un chrétien dansent les musiques du monde. Voici la question qui s’y cache : « Suis-je capable de danser sans offenser Dieu en paroles, actions, pensées, désirs, omissions, directement ou indirectement ? Puis-je provoquer des péchés chez les personnes avec lesquelles je danse ?  ».

La danse dans la Bible

Nous avons plus d’exemples de danses dans l’ancien Testament que dans le nouveau. Dans l’Ancien Testament, on parle de la danse des femmes, du peuple d’Israël et de la danse du roi David devant l’Arche de l’Alliance.

Il est fréquent de voir les femmes danser après les victoires des expéditions militaires. Deux cas typiques peuvent l’illustrer : la sortie de l’Égypte et la victoire de David sur Goliath. En effet, après la traversée, voici que Myriam, la sœur du prêtre Aaron, et une cohorte de femmes, tambourins en main, formaient une chorale de chants et de danses. On se rappelle ce chant que nous prenons la nuit pascale : « Chantons le Seigneur, il a fait éclater, sa magnificence ; il a jeté à l’eau, cheval et cavalier » (Ex 15, 20). On ne va pas non plus oublier le chant et les danses des femmes au-devant de Saül, après la victoire éclatante de David sur le philistin Goliath : « À leur retour, quand David revint, après avoir tué le Philistin, les femmes sortirent de toutes les villes d’Israël au-devant du roi Saül pour chanter en dansant, au son des tambourins, des cris d’allégresse et des sistres » (1S 18, 6).

Dans sa dimension religieuse, on se rappelle la danse du peuple d’Israël autour du veau d’or. Ce qui a provoqué la colère de Moïse au point où il a brisé les tables de la loi qu’il venait de recevoir de Dieu (Ex 32, 19). On fera aussi mention de la danse du roi David devant l’Arche de l’Alliance : « David dansait et tournoyait de toutes ses forces devant le Seigneur » (2S 6, 14). C’est donc dire que la danse couvre toute la vie du peuple d’Israël, que l’on soit dans le profane que dans le religieux.

Jésus aussi parlera des chants et des danses, provoqués par le retour de l’enfant prodigue. En s’approchant de leur domicile, le fils aîné s’aperçut qu’on festoyait, dans les chants et la danse. Le retour du pécheur est occasion de jubilation et d’allégresse. Dans Mt 11, 17, Jésus dépeint une génération qui reste indifférente son message : « Nous avons joué de la flûte et vous n’avez pas dansé ». On imagine aussi mal que les mariages soient dépourvus de toutes danses. La danse existe donc au temps de Jésus. Elle est l’expression visible de la réjouissance.

Au regard de ceci, on peut revenir à la question : le chrétien peut-il danser et ne pas pécher ni être occasion de péché pour les autres ? La réponse est positive. Cependant, aujourd’hui et de plus en plus, la modernité corrompt la danse elle-même, au point où il faut un grand discernement et une vigilance de l’esprit pour danser. Une rapide description des phénomènes observables au cours de la danse nous éclairera davantage.

Quelques observations sur les danses

Nous allons nous intéresser à cinq aspects de la danse moderne : l’habillement, les attouchements, le rythme de la musique, les paroles musicales et les lieux et les temps.

1.L’habillement : Outre les péchés de vanité (signe et cause de tiédeur chrétienne) que provoquent les soirées, il est bien rare qu’il n’y ait pas des jeunes filles qui ne soient occasion de tentations contre la chasteté pour les jeunes gens à cause de leur habillement peu modeste. On peut déplorer la même chose chez les jeunes garçons aussi. La désinvolture de l’habillement n’est pas sans suggestion auprès des jeunes filles.

2. Les attouchements : Plus les danses facilitent et multiplient les occasions de rapprochement physique, plus il y a risque de tentations, et nécessité d’être prudent.

3. Le rythme de la musique : La musique, par son rythme endiablé, a une influence néfaste sur les sens ; car si la mélodie parle à l’âme, le rythme parle aux sens. Plus une musique est rythmée, plus elle est sensuelle.

4. Les paroles des chansons : Là encore, les paroles, qui combinent musique, sexe, drogues, révolte, avec la trahison d’une âme qui a abandonné son Dieu, s’alignent sur le péché originel en l’exploitant, et, en faisant rejeter toute retenue, pousse à mille péchés personnels dont les jeunes sont pleinement conscients et responsables ! Comment des Catholiques peuvent-ils accepter de danser sur les slogans de la révolution ? Comment peut-on à la fois aimer Dieu de tout son cœur et accepter de danser sur des textes qui L’insultent et Le bafouent ?

5. Les lieux et temps : L’ambiance de chaleur, d’obscurité, de lumières tamisées, de jeux de lumières, l’usage de l’alcool, l’alternance de musiques frénétiques puis langoureuses, romantiques à l’excès, sont un cadre propice à l’excitation des passions avec tous les péchés qui s’ensuivent. Les jeunes vont peu à peu s’habituer à considérer cette vie comme une succession de fêtes. Sœur Lucie de Fatima ne disait-elle pas : « La passion pour le bal jetait des racines profondes dans mon pauvre cœur ; j’avoue que, si le Bon Dieu n’avait pas employé de miséricorde spéciale envers moi, le démon m’aurait perdue »  ?

Toutes les danses peuvent ne pas réunir toutes ces caractéristiques, mais il en est très peu qui n’impliquent pas l’une ou l’autre ses signes décrits dans ces paragraphes. Cet état de chose nécessite donc un discernement pour savoir que danser pour préserver son âme.

La moralité des danses modernes

En règle générale, les danses modernes sont pour la plupart des jeunes une occasion volontaire et prochaine de péché mortel.

C’est un péché grave de présomption de s’exposer à une telle occasion ; le catholique se doit donc d’éviter ce genre de distraction, car il ne peut mettre en péril le salut de son âme : qui veut éviter le péché doit en fuir l’occasion !

Quiconque se met librement dans l’occasion de pécher gravement, s’il refuse de renoncer à cette occasion, ne peut être absous ; car il n’est pas alors dans les dispositions voulues.

Le saint curé d’Ars avait fait peindre sur l’arche de sa chapelle Saint Jean-Baptiste la phrase suivante : « Sa tête fut le prix d’une danse » !

Dans les temps de foi, les évêques n’y allaient pas par quatre chemins : « Les danses modernes, qui sont presque toutes de la plus mauvaise origine, menacent les bonnes mœurs et la pudeur, et ne peuvent être tolérées en aucune circonstance » (Épiscopat allemand en … 1925 !)

Saint Thomas d’Aquin énumère les circonstances nécessaires pour que l’on puisse parler de danse honnête :

• « Qu’il ne s’agisse pas d’une personne dont il ne conviendrait pas qu’elle danse, comme un clerc ou un religieux ;

• que la danse se fasse entre personnes honnêtes ;

• sur un chant honnête ;

• que les gestes ne soient pas lascifs ».

Saint François de Sales précise : « Les danses et les bals sont choses indifférentes de leur nature, mais selon l’ordinaire façon avec laquelle cet exercice se fait, il est fort penchant et incliné du côté du mal, et par conséquent plein de dangers et de périls. Les bals, les danses attirent ordinairement les vices et les péchés : les cœurs sont fort aisés à se laisser saisir et empoisonner. Ces impertinentes récréations sont ordinairement dangereuses : elles dissipent l’esprit de dévotion, alanguissent les forces, refroidissent la charité et réveillent en l’âme mille sortes de mauvaises affections… En même temps que nous sommes au bal, plusieurs âmes brûlent au feu d’enfer pour les péchés commis à la danse ou à cause de la danse ».

Le Saint Curé d’Ars appelait la danse « le péché parfumé ». Non seulement le saint patron de tous les curés refusait l’absolution à tous les jeunes qui dansaient, mais il en faisait de même avec les parents qui permettaient à leurs enfants de danser ! « Il n’est pas un Commandement de Dieu », disait-il, « que la danse ne fasse transgresser »  !

Jugement moral

Saint Charles Borromée classe les danses parmi les occasions relatives ou personnelles de péché, non parmi les occasions absolues. Le risque de péché dépend donc de l’influence des circonstances objectives sur la sensibilité personnelle, et celle-ci varie d’individu à individu.

On devra donc être d’autant plus prudent que l’on est plus sensible aux tentations contre la chasteté, et que la réunion où l’on se rend présente plus de risques dans ce domaine : plus les risques augmentent, plus il faudra une raison sérieuse et grave pour s’y rendre, jusqu’à l’abstention complète s’il le faut.

Et soyons réalistes dans notre réponse, afin de voir le problème tel que Dieu le voit Lui-même : dans la plupart des cas, la danse est une occasion prochaine, volontaire de péché mortel, et doit donc être évitée.

On ne fera jamais que les danses actuelles ne soient une manifestation de l’esprit du monde auquel il nous est commandé de ne pas nous conformer. Puisqu’il y a tant de dangers dans les danses modernes, ne vaut-il pas mieux pour les catholiques s’en abstenir ? Notre Seigneur n’a-t-Il pas déjà répondu à cette question ?

« Si quelqu’un scandalise un de ces petits qui croient en Moi, il vaudrait mieux pour lui qu’on lui pendît au cou une de ces meules qu’un âne tourne, et qu’on le jetât au fond de la mer. Malheur au monde à cause des scandales, car il est nécessaire qu’il arrive des scandales, mais malheur à l’homme par qui le scandale arrive » (Mt, 18, 6-7).

« Ne savez-vous pas que votre corps est le temple du Saint-Esprit qui réside en vous et qui vous a été donné de Dieu, et que vous n’êtes plus à vous-mêmes ? Vous avez été rachetés d’un grand prix. Glorifiez et portez Dieu dans votre corps » (1 Co, 6, 19-20).

« Ne vous conformez pas à ce monde » (Rom, 12, 2).

« Si quelqu’un veut Me suivre, qu’il se renonce lui-même, qu’il prenne sa croix, et qu’il Me suive » (Mt 16, 24).

En 1414, Sainte Françoise Romaine eut une vision de l’enfer ; elle fut glacée d’horreur en reconnaissant dans les flammes vengeresses certaines dames qu’elle avait vues dans le monde. Ces tristes chrétiennes étaient damnées pour des désirs gravement coupables (quoique non suivis d’effet), pour des vaines parures (cause de séduction et de péché), pour des danses que le monde déclare inoffensives !

Les remèdes

L’homme n’est pas un ange, et ne vit pas que de choses spirituelles. La grâce ne détruit pas la nature : le repos, la détente, font partie de la vie humaine, même pour un catholique convaincu. Mais ce catholique doit devenir le sel de la terre, et changer le milieu qui l’entoure par un catholicisme authentiquement vécu. La rupture volontaire avec la mentalité du monde est le premier symptôme de l’amour de Dieu : le vrai catholique peut vivre dans le monde, mais il doit s’appliquer à ne pas aimer les choses de ce monde qui pourraient l’éloigner de Dieu. En effet, selon l’apôtre saint Jean : « ce qui est dans le monde, la concupiscence de la chair, la concupiscence des yeux et l’orgueil de la vie, ne vient point du Père, mais du monde » ! La plupart des fidèles ont une tendance à séparer leur vie spirituelle de leur vie sociale ; mais notre vie spirituelle doit infuser et influencer notre vie sociale toute entière : nous devons non seulement prier, mais aussi vivre et nous détendre comme des catholiques ! En soi, la danse n’est pas plus répréhensible que la musique ou le sport. Le Roi David dansait devant l’arche d’alliance ! Mais, en raison du péché originel et de la blessure de la concupiscence, la danse est devenue aujourd’hui une occasion de désordres passionnels. Il faut organiser de vraies distractions catholiques (chants, jeux, veillées…) De même que nous cherchons à donner à nos jeunes toutes les vertus que le monde combat, de même nous devons les amuser avec les amusements que le monde ne connaît pas, leur faire brûler ce qu’il adore, leur faire aimer ce qu’il déteste. Il s’agit de savoir ce que nous voulons faire et si, oui ou non, nous voulons vivre en conformité avec les promesses de notre Baptême. Un prêtre devrait pouvoir assister à toutes les activités de détente, et ne devrait pas être gêné de se trouver là. Un prêtre, par exemple, devrait pouvoir assister à une réception de mariage dans une famille catholique de la même manière que Notre Seigneur Jésus-Christ et Notre Dame ont pu rester au repas de noces de Cana en Galilée. On peut s’amuser à une telle réception, se détendre sainement, sans pour autant se croire obligé d’y danser ! Peut-on en effet qualifier de Catholiques des distractions, des détentes, où un prêtre est obligé de s’éclipser ? « Les hommes sont étonnés et renversés par celui qui ne fait aucune concession à leurs erreurs, qui manifeste un dédain parfait pour les bagatelles où sont empêtrés la plupart des hommes. Demeurer dans la fierté d’une intransigeance qui est ici-bas comme un reflet de l’absolu de Dieu, c’est encore l’attitude la plus utilement apostolique. « Il n’est pas de conseil, mais de précepte, de ne point se conformer au monde. Ce n’est pas le péché seulement, mais le monde qu’il nous est prescrit de détester et d’éviter. Le bal, les plaisirs raffinés et recherchés des salons, les soupers de minuit, les casinos et les plages sont des choses qui ne sont de soi pas toujours et nécessairement des péchés, mais toujours et essentiellement orientées autrement que le Baptême n’oriente les âmes. « Le monde est ce que l’on aime moins à mesure qu’on aime Dieu davantage, et ce que l’on aime davantage à mesure qu’on aime moins Dieu. On n’a pas ‘christianisé’ un bal parce qu’on a réussi à en exclure les danses ouvertement déshonnêtes ou parce qu’on a remis en place quelques jeunes gens hardis. Pour que le bal fut chrétien, il faudrait qu’il ne fût plus mondain. On est ici en présence de deux tendances de sens contraire, entre lesquelles, tandis qu’on cherche en vain à concilier, on demeure au fond comme écartelé »

Les premiers chrétiens n’auraient jamais osé avoir des compromissions de ce genre avec le monde ; ils ne fréquentaient ni le cirque, ni les théâtres, ni les bains publics. Pourtant, le levain a soulevé la pâte. Ils ont complètement transformé le monde d’alors. C’est la route qui s’ouvre devant nous. Le salut ne viendra que par l’absolu de la Vérité, car le Seigneur a dit : « Je suis la Voie, la Vérité et la Vie », c’est à dire l’unique Voie, l’unique Vérité et l’unique Vie. On ne convertira jamais le monde en se mettant à son niveau. Il faut l’élever au niveau de la vérité. Ou le monde comprendra cela, ou le monde disparaîtra ! Cette saine intransigeance est celle du Seigneur et de Son Église, cette intransigeance qui a conduit des milliers de martyrs aux lions ; mais ces lions leur ont ouvert le Ciel !

Inspiré de l’abbé Lafitte
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Frère Hervé

Je suis un religieux ermite, consacré dans cette forme de vie par mon évêque. Je réside en France et suis passionné par la recherche de la Vérité dans l’Écriture sainte, dans la philosophie et la théologie.

Cet article a 7 commentaires

  1. TODEGO

    Merci Père d’avoir nourri mon âme
    Maintenant que je sais,je saurai mieux me comporter
    J’aime mon église

    1. Baudouin BEDIDJO

      Cet article est si intéressant car il nous permet de mieux nous comporter quand il y a musique.

  2. Valérie dognon

    Merci beaucoup cher prêtre

  3. Grégoire DIMEKOI

    Merci beaucoup mon père pour l’enseignement je suis satisfait.

  4. Joyce

    Merci beaucoup padre. Vous m’avez fait ouvrir les yeux sur beaucoup de choses cachées. merci d’écrire plusieurs autres articles sur des sujets aussi pertinents que la danse

  5. Guy Labranche

    Désolé, je ne suis pas d’acord avec l’idée de ne pas danser. Quand j’étais adolescent, un mouvement-jeunesse catholique (L’ACLÉ) utilisait des danses folklorique international dans les moment de loisir et des danses d’Israel dans les célébrations litirgique. Le chant-thème de l’anné etait chorégraphier. A l’université de Montréal, au Bacc en théologie, on m’avait permis de prendre un cours de danse folklorique international pour cette raison et pour d’autres raisons aussi. J’ai aussi suivi un cours de Gestuelle et danse liturgique qui fut ,par la suite , donné a la faculté de théologie. Lors de la visite du pape jean-Paul II a Montréal, on a dansé, et on a aussi dansé lors du 350è anniversaire de la fondation de Montréal (fête ortganisé par le diocèse).

    Et enfin:
    “Car s’il y a beaucoup de saintes gens qui n’aiment pas danser,
    Il y a beaucoup de saints qui ont eu besoin de danser,
    Tant ils étaient heureux de vivre :
    Sainte Thérèse d’Avila avec ses castagnettes,
    Saint Jean de la Croix avec un Enfant Jésus dans les bras,
    Et Saint François, devant le pape.

    Si nous étions contents de vous, Seigneur,
    Nous ne pourrions pas résister
    A ce besoin de danser qui déferle sur le monde,
    Et nous arriverions à deviner
    Quelle danse il vous plaît de nous faire danser
    En épousant les pas de votre Providence.

    (Extrait du poème Le bal de l’obéissance de Madeleine DELBREL, Nous autres gens des rues, 1966)”
    Sainte Thérèse d’Avila : danser le désir de Dieu !
    https://gloria.tv/post/sBXuS7dKDiw62huDmhskpPMD7

    1. Abbé Jean Oussou-Kicho

      Le chrétien peut danser. La vie est danse et cadence. David ne dansait il pas ? Jésus était aux noces de Cana. Il a dû danser et partager la joie des mariés. Là dessus, nous nous entendons fort bien.

      Mais en ce qui concerne la liturgie eucharistique, nous sommes bien a l’actualisation d’un sacrifice douloureux non sanglant. Je ne crois pas que ce jour là, le vendredi saint, il y avait motif à danser.

      Dans sa subsistance, la participation à la messe invite au recueillement et à la méditation.

      Cela n’empêche pas que nous elevions des chants d’action de grâce à Dieu et même à faire participer le corps.

      En revanche, la messe n’est pas du folklore pour que les gens et dansent des uns et des autres decentrent l’attention due au Christ pour les danseurs. C’est a ce moment là que la danse sort de son caractère liturgique pour devenir folklorique. Et cette danse là n’est pas liturgique.

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