Quelle est la différence entre catholiques et orthodoxes ?

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Avant de parler de différence, il sied de rappeler que catholiques et orthodoxes partagent la majorité de biens spirituels en commun et plus d’un millénaire d’histoire commune.

Nous avons en communs les sept premiers conciles œcuméniques, nous avons la même christologie (une seule personne du Christ ayant deux natures : divine et humaine), nous avons le même amour pour la Vierge que nous vénérons comme Mère de Dieu ou Théotokos que les orthodoxes appellent Panagia (« Toute-sainte). Nous croyons tous à la communion des saints, nous avons tous sept sacrements, nous croyons tous à la succession apostolique (le fait que les évêques succèdent aux apôtres dans leur rôle d’enseignants et des prêtres), nous croyons tous que la messe ou la divine liturgie est un sacrifice, que le Christ est réellement présent dans la sainte Eucharistie. Nos bibles contiennent aussi bien les livres protocanoniques que les lires deutérocanoniques.  Nous avons quasiment le même Credo (symbole de Nicée-Constantinople), la vie monastique est présente dans nos deux Églises…

1. Différence du point de vue doctrinal

Théologiquement, les différences sont minimes malgré ce qu’en disent les polémistes.

Papauté et ecclésiologie

Catholiques et orthodoxes admettent que l’évêque de Rome (le pape) a une certaine primauté sur les autres évêques. La différence étant que pour nous catholiques, le pape est le successeur de saint Pierre ; à ce titre, il est donc pasteur de toute l’Église et vicaire du Christ. Il possède la juridiction sur l’Église tout entière, il peut convoquer les conciles et aucun concile œcuménique n’a effet sur l’Église sans l’approbation du pape. Selon la foi catholique, la papauté (le siège de Pierre) est une institution divine, elle a été établie par Notre Seigneur Jésus-Christ en la personne de Pierre.

Les orthodoxes sont divisés sur la place du pape. Pour certains, le pape n’a qu’une primauté d’honneur parmi les autres patriarches mais n’a aucun pouvoir effectif en dehors d’Europe occidentale, du moins en dehors de l’Église latine. Pour d’autres, le pape est comme le grand-frère (mais pas le père) de la famille chrétienne et qu’à ce titre, il peut entendre les appels venant de toutes les Églises. Il est en quelque sorte comme l’arbitre quand ses petits-frères (les patriarches et autres évêques) ont des soucis. Il existe aussi d’autres positions concernant le pape.

Quant à l’origine de la primauté de l’évêque de Rome, j’ai suivi un prêtre orthodoxe reconnaissant son origine divine (même si sa définition de « divin » était plus large et incluait même les canons de concile) mais la majorité des orthodoxes semblent prétendre que la primauté de l’évêque de Rome a une origine ecclésiastique. Autrement dit, ce n’est pas Dieu qui aurait institué la primauté du pape mais plutôt que les conciles de l’Église auraient donné cet honneur à l’évêque de Rome parce que Rome était la capitale de l’empire.

L’ecclésiologie de deux Églises est donc différente. L’Église catholique opère avec une structure pyramidale corrigée par le concile Vatican II. Au sommet, il y a le pape, aidé par les cardinaux, puis viennent les patriarches (oui, il y a des patriarches dans l’Église catholique, ceux latins sont honorifiques mais ceux des Églises catholiques orientales ont une véritable autorité sur leurs Églises particulières bien qu’étant eux-mêmes soumis au pape en tant que pasteur de toute l’Église) et archevêques majeurs (pour les Églises catholiques orientales qui n’ont pas de patriarche comme celui de l’Église catholique ukrainienne), les autres évêques (archevêques et métropolites ayant un « rang honorifique » plus élevé que les évêques suffragants, ces derniers étant supérieurs en terme de juridiction aux évêques auxiliaires).

Les orthodoxes eux, ne forment pas une Église unique avec un pasteur unique mais une communion d’Églises quasiment indépendantes (Constantinople, Russes, Grecs, Serbes, Roumains) et ayant des territoires bien précis. On les appelle « Églises autocéphales » (littéralement « qui est sa propre tête »). Ces Églises sont censées être dirigées par des patriarches ( ex : Moscou, Constantinople, Alexandrie, Serbie…) ou des primats (ex : Chypre, Église orthodoxe en Amérique…). Ces patriarches et primats sont tous égaux même s’ils ont une certaine hiérarchie d’honneur. Les orthodoxes n’ont donc pas une personne qui ressemble au pape. Par exemple, récemment, le patriarche de Moscou qui est 5e en rang d’honneur a excommunié les patriarches de Constantinople et d’Alexandrie, respectivement 1er et 2e. Et lorsqu’ils ont essayé d’organiser un concile en 2016, ça n’a pas marché car certaines églises ont accepté les décisions et d’autres les ont refusées. Et même dans leurs Églises autonomes, les patriarches et primats n’ont pas beaucoup de pouvoir car la théologie orthodoxe a développé un principe selon lequel tous les évêques sont égaux mais ne sont différents que d’un point de vue honorifique. Ce qui signifie que les patriarches et primats sont avant tout uniquement des présidents et porte-paroles du synode (assemblée des évêques) de leurs églises, en théorie du moins. 

Trinité

Catholiques comme orthodoxes, nous croyons en un seul Dieu en trois personnes ou hypostases (les orthodoxes utilisent ce mot le plus souvent) : le Père, le Fils et l’Esprit Saint. Nous sommes d’accord sur la Trinité économique c’est-à-dire comment Dieu se révèle à la création ou dans le temps : le Père envoie le Fils et le Saint-Esprit est envoyé par le Père et le Fils.

La différence est la manière dont nous concevons la Trinité immanente ou éternelle c’est-à-dire la manière dont Dieu se contemple en lui-même. Mais ce sujet dépasse le cadre du laïc moyen. En bref, sur ce point encore nous sommes d’accord que le Père est la source de la vie divine et donc celui qui transmet la nature divine au Fils et à l’Esprit (on appelle cela la monarchie du Père). Nous sommes aussi d’accord sur le fait que le Fils vient du Père seul par génération.

La différence est que nous, catholiques, affirmons que l’Esprit Saint procède du Père et du Fils (ce qu’on appelle le Filioque) mais les orthodoxes diront qu’ils procèdent du Père seul. Certains d’entre eux (dont certains évêques comme Mgr Kallistos) vont admettre qu’ils procèdent du Père par le Fils. Avec ce groupe, les catholiques vont affirmer que ce n’est qu’une question de sémantique et de différence culturelle et que les deux expressions veulent dire la même chose alors que d’autres vont affirmer que c’est une différence théologique importante.

Ainsi quand ils récitent le symbole de Nicée, les Orthodoxes, pour ce qui concerne le Saint-Esprit, disent : « Je crois à l’Esprit Saint qui procède du Père,… » alors que les catholiques  (du moins les catholiques latins car Rome a permis aux catholiques orientaux de dire le Credo sans « et du Fils » mais qu’ils doivent adhérer à la doctrine) disent : « Je crois à l’Esprit Saint qui procède du Père et du Fils… ».

Le mariage

Il est indissoluble pour les catholiques mais les orthodoxes permettent jusqu’à trois divorces et trois mariages.  Mais ils disent que seul le premier mariage est un sacrement. Une deuxième différence est que les orthodoxes considèrent que le prêtre est le ministre du sacrément de mariage. Mais pour les catholiques, ce sont les époux qui sont les ministres et le prêtre (ou le diacre) est lui le témoin au nom de l’Église pour recueillir les consentements des époux.

Autres différences

Il y a d’autres différences théologiques qui semblent plus complémentaires que contradictoires et qui sont, pour la plupart, dû au fait qu’elles se sont développé après notre division.

  • L’infaillibilité pontificale (conséquence de la primauté de l’évêque de Rome) : les orthodoxes n’y croient pas.
  • Le péché originel que les catholiques voient comme la privation de la grâce que les orthodoxes préfèrent appeler « péché ancestral » et voient d’abord cela comme perte de dons qu’avait l’homme avant la chute comme l’immortalité.
  • L’Immaculée Conception que beaucoup d’orthodoxes refusent d’admettre (car ils refusent la conception catholique du péché originel) bien qu’ils admettent (dans leur majorité) que la Vierge n’a jamais eu de péchés personnels et qu’elle a eu la grâce nécessaire de la part de Dieu.
  • L’Assomption de la Vierge Marie : les orthodoxes critiquent le terme « assomption » mais croient comme les catholiques que la Vierge Marie se trouve corps et âme au ciel. Ils préfèrent plutôt parler de dormition (mort sans douleur). Mais l’assomption et la dormition sont fêtés la même date, le 15 août. Pourtant dans le fond, la différence, d’un point de vue dogmatique, n’existe quasiment pas.

Il reste d’autres différences mais qui sont soit minimes soit trop techniques comme sur la grâce, la vision béatifique, la distinction essence/énergie en Dieu….

2. Différences du point de vue pratique

Souvent quand les gens pensent à l’Église catholique, ils ont en fait, à l’idée, l’Église latine, qui est la plus grande, en terme de nombres de fidèles, des Églises catholiques.

En réalité, l’Église catholique, c’est-à-dire l’Église en communion avec le pape, évêque de Rome, comprend vingt-quatre Églises « autonomes », reconnaissant toutes l’autorité du pape. Il y a l’Église latine dont font partie 99 % des catholiques et vingt-trois églises catholiques orientales. La majorité des catholiques en Afrique, Europe occidentale, Amérique, et même certains pays d’Asie appartiennent à l’Église latine. Les vingt-trois églises catholiques orientales sont principalement concentrées dans certains pays d’Europe de l’Est (Ukraine, Hongrie…), en Afrique (Égypte, Éthiopie, Érythrée), Asie (Irak, Inde, Liban, Israël, Palestine…) et dans leur diaspora. La majorité de ces Églises catholiques orientales est issue des membres de l’Église (ou des Églises) orthodoxes qui sont revenus à la communion avec Rome. En conséquence, leurs pratiques sont exactement les mêmes que celles des Églises orthodoxes dont elles sont issues. (Les autres sont plutôt issues des Églises de Trois conciles comme l’Église copte catholique d’Égypte ou des Églises de Deux conciles comme l’Église catholique chaldéenne d’Irak. D’autres n’ont jamais été séparées du pape comme l’Église maronite du Liban ou l’Église italo-albanaise de l’Italie du sud).

Ainsi, il est mieux de donner les différences pratiques entre l’Église latine et les Églises orthodoxes. Mais gardons à l’esprit que la majorité de ce qui sera dit sur les Églises orthodoxes vaut aussi la majorité des catholiques orientaux.

Le sacerdoce

La discipline actuelle dans l’Église latine ne permet que l’ordination des hommes célibataires. C’est le célibat sacerdotal. Les orthodoxes ont pour discipline d’ordonner couramment les hommes mariés. Cependant, un prêtre marié ne peut plus se remarier même s’il devenait veuf. En plus, les évêques ne sont choisis que parmi les prêtres moines ou plus rarement parmi les veufs.

Dans l’Église latine comme dans les Églises orthodoxes, un prêtre ne peut pas se marier. Une remarque est que les prêtres et les évêques orthodoxes sont généralement barbus. Cette tradition est liée au nazirat dans la bible où les consacrés ne se rasent pas (ex : Samson).

Le diaconat et les ordres mineurs

Après le concile Vatican II, les ordres mineurs (portier, acolyte, exorciste, lecteur) et le sous-diaconat ont disparu dans l’Église latine (ils sont remplacés par des ministères de lecteur et d’acolyte ouverts aux laïcs mais qui demeurent un passage obligé pour les candidats au diaconat et au presbytérat). Les ordres mineurs continuent à exister chez les orthodoxes. Il existe deux types des diaconats dans l’Église latine, non pas en fonction du ministère qui est le même mais en fonction de leur durée dans l’ordre. Il y a le diaconat permanent dans lequel peuvent être ordonné des hommes mariés (mais qui ne peuvent pas se remarier en cas des décès de l’épouse) comme des célibataires et le diaconat en vue du sacerdoce dans lequel sont ordonnés des candidats au sacerdoce pour qui le diaconat est une étape transitoire. Les orthodoxes ordonnent des hommes mariés au diaconat. Le diaconat est vu comme un office permanent bien qu’un diacre peut devenir prêtre et qu’un prêtre passe nécessairement par le diaconat.

Les diaconesses

Une minorité des églises orthodoxes a restauré l’ordre des diaconesses qui ont quelques rôles dans la liturgie et aident dans l’administration des sacrements (surtout le baptême) aux femmes. Cependant, ce n’est généralement pas considéré comme un ordre majeur. L’Église latine n’a pas d’ordre des diaconesses à l’heure actuelle.

Le signe de la Croix

À l’Église latine, le signe de la croix se fait avec la main ouverte (les cinq doigts symbolisant les cinq plaies du Christ) et de droite à gauche. Les orthodoxes font le signe de la croix avec trois doigts (pouce, index et majeur symbolisant la Trinité, les 2 doigts pliés symbolisant les deux natures du Christ) et de droite à gauche. Les différences sont liées à l’histoire. Il existe une « secte » parmi les orthodoxes russes appelée « vieux-croyants » où le signe de la croix se fait avec deux doigts plutôt que trois. Les chrétiens des Églises de Deux conciles (coptes, arméniens, syriaques…) Font avec trois doigts mais dans le même sens que les Catholiques latins alors que ceux de Trois conciles (assyriens, syro-malankar…) font comme les orthodoxes.

La messe

Pour l’Église latine, le nom courant est « messe » même si d’autres expressions lui sont synonymes (dans le contexte de la liturgie) : Eucharistie, Sainte Messe, Cène du Seigneur, Fraction du pain, Célébration eucharistique, Mémorial de la passion, de la mort et de la résurrection du Seigneur, Saint Sacrifice, Sainte et Divine Liturgie, Saints Mystères, Saint-Sacrement de l’autel, Communion.

Chez les orthodoxes, l’expression la plus répandue est « Divine liturgie ». Les messes orthodoxes sont généralement plus longues que les messes catholiques latines. Les orthodoxes n’ont la divine liturgie que les dimanches à l’inverse des catholiques latins qui ont messe chaque jour (bien que seule celle du dimanche soit obligatoire). Par contre les monastères et quelques cathédrales orthodoxes offrent plutôt l’office divin ou la liturgie des heures chaque jour.

Dans les messes orthodoxes, les fidèles sont généralement debout pendant toute la célébration sauf pour les malades et les vieillards. Donc les paroisses n’ont pas des bancs pour les fidèles. Les orthodoxes ne s’agenouillent ni ne se prosternent pendant la messe (dimanche) car en Orient se prosterner est associé non pas à l’adoration mais à la pénitence. Ils font les prosternations pendant l’office divin. Les orthodoxes célèbrent encore la messe ad orientem c’est-à-dire que le prêtre et les fidèles sont tournés vers l’Est (symbole du Christ, soleil levant). En conséquence le prêtre ne regarde pas la congrégation. Ce fut ainsi pour l’Église latine avant Vatican II. L’Église latine célèbre encore de cette façon dans ce qu’on appelé jusque récemment la forme extraordinaire du rite romain (messe célébrée selon les livres liturgiques approuvés par saint Jean XXIII en 1962). Dans la forme ordinaire du rite romain, la messe dans l’Église latine est principalement célébrée « versus populum » (c’est-à-dire le prêtre fait face au peuple) depuis Vatican II ; toutefois, la célébration ad orientem reste possible. Cependant, certaines Églises orthodoxes ont adopté le « versus populum » et même celle qui ne l’ont pas adopté l’utilisent rarement.

Le calendrier liturgique

L’Église latine utilise le calendrier grégorien (qui est aussi le calendrier le plus utilisé dans le monde même dans les affaires civiles) et les églises orthodoxes utilisent le calendrier julien. Les deux ont un décalage de treize jours. En conséquence, les orthodoxes (et certains catholiques orientaux qui sont restés sur le calendrier julien) fêtent Noël quand l’Église latine fête l’Épiphanie le 7 Janvier. Ils fêtent 13 jours après l’Église latine. Cependant, environ la moitié des Églises orthodoxes dont le patriarcat œcuménique a adopté le calendrier julien révisé qui est juste le calendrier julien réajusté pour qu’il puisse coïncider avec le calendrier grégorien actuellement. Du point de vue liturgique, le carême orthodoxe est plus long que celui de l’Église latine.

La vie consacrée

Chez les orthodoxes, la vie consacrée est quasiment limitée à la vie monastiques (moines et moniales).

Dans l’Église latine, la vie consacrée est plus variée avec des ordres contemplatifs ou monastiques, les ordres apostoliques comme les franciscains ou les jésuites, les chanoines réguliers, les sociétés de vie apostoliques, les instituts de vie consacrée, auxquels il faut ajouter les ermites, les veuves consacrées et les vierges consacrées.

Les sacrements de l’initiation

Dans l’Église latine, les sacrements de l’initiation sont ordinairement séparés : l’enfant est d’abord baptisé, puis commence à communier à l’âge de la raison et il est confirmé plus tard. Le ministre ordinaire de la confirmation est l’évêque. Le baptême est généralement par effusion.

Chez les orthodoxes, les sacrements d’initiation ne sont pas séparés : l’enfant est baptisé puis confirmé juste après (les orthodoxes disent chrismation plutôt que confirmation) et il a accès à sa première communion directement. Les orthodoxes n’attendent pas l’âge de la raison pour la communion mais ce n’est qu’à partir de l’âge de la raison que l’enfant commence à se confesser. Le ministre ordinaire de la confirmation est le prêtre mais il utilise de l’huile bénite par l’évêque.

Le baptême se fait souvent par immersion (trois fois).

À noter que même dans l’Église latine, le prêtre peut confirmer en situation extraordinaire comme lors du mariage d’une personne baptisée mais non confirmée.

L’Église latine utilise du pain sans levain pour l’eucharistie ; les orthodoxes utilisent du pain levé.

La communion se fait ordinairement sous une seule espèce pour les fidèles (pain) bien que la communion sous deux espèces soit encouragée. Et lorsqu’on communie sous deux espèces, les fidèles communient d’abord au Corps puis au Sang. Chez les orthodoxes, la communion se fait sous deux espèces habituellement et le fidèle communie au Corps mélangé au Sang qui lui est tendue par une cuillère.

Les icônes et les statues

Les statues sont absentes ou du moins très rares dans les Églises orthodoxes ; à la place, on trouve tout un coin destiné aux icônes.

Les icônes sont quasiment absentes des Églises catholiques latines mais on trouve les statues.

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Jordy Théodore Wa Ngondo-Maria

Je suis un laïc engagé dans le « ministère des jeunes et évangélisation », actuellement membre du Renouveau charismatique de la communauté francophone de l’archidiocèse de Cape Town. Apologiste amateur, passionné des Saintes écritures, de la philosophie et de la théologie catholique, je m’engage à fond dans la protection des bébés (lutte contre l'avortement) au sein de l'université de Cape Town.

Cette publication a un commentaire

  1. ZANNOU

    Merci pour tout

    Que Dieu vous fortifie, qu’Il Vous bénisse tous

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