Ève et Marie : de la mort à la vie

Par Ève a été détruite la gloire de l’homme, avec sa beauté et son amabilité ; mais avec Marie, elle a refleuri. Ève, resplendissante de gloire et d’honneur, n’a pas voulu résister au serpent vil et méprisable, alors que ses propos apparaissaient peu sûrs et qu’il aurait fallu les éprouver par le feu ; en outre, on pouvait voir qu’elle était elle-même étincelante de lumière, et qu’il était, lui, misérable et abject. Admirons donc Marie, qui prit à partie le grand archange, sans trembler, s’informa sans s’effrayer. Ève n’osa même pas interroger l’ignoble serpent privé de pattes, alors qu’une jeune…

Continuer la lectureÈve et Marie : de la mort à la vie

Nous sommes passés de la mort à la vie

On peut attribuer à Marie de façon très appropriée diverses appellations. Car elle est elle-même le temple du Fils de Dieu, lui qui est issu d’elle dans une condition naturelle vraiment différente de celle qu’il avait lorsqu’il était entré en elle : lorsqu’il s’était introduit en son sein, il n’était pas revêtu d’un corps, il en sortit pourvu d’un corps. Elle est elle-même ce ciel nouveau mystérieux, dans lequel a résidé le Roi des rois comme en son trône, ce ciel à partir duquel il est descendu vers la terre, offrant aux regards un certain aspect et une certaine ressemblance…

Continuer la lectureNous sommes passés de la mort à la vie

Fin du contenu

Aucune page supplémentaire à charger