Parfois, certains catholiques, certains convertis et de nombreux protestants reprochent à l’Église d’accorder une place trop grande à Marie. Il faut bien le reconnaître, ce reproche n’est pas toujours sans fondement mais il est souvent exagéré. Voyons la place de Marie dans l’économie du salut. La doctrine de l’Église reconnaît sans ambiguïté le Christ comme central et primordial. Les principes de base de la piété mariale sont complètement en accord avec une foi centrée sur le Christ. En effet, l’Église nous exhorte à une dévotion mariale équilibrée, mettant en garde d’un côté contre « une rébellion contre la mariologie »…
Image représentant la vierge Marie
Le Je vous salue Marie est la prière chrétienne la plus ancienne, la plus répétée, la plus imitée et la plus puissante. C’est la prière plus ancienne Elle a été prononcée au moment où Jésus, le Christ, le Fils de Dieu, a été conçu dans le sein de la Vierge, au moment où le Fils de Dieu a pris chair dans notre humanité, au tout début de ce que l’on allait appeler le christianisme. Cette prière est venue littéralement du ciel, car elle a été prononcée pour la première fois pour des oreilles humaines par l’archange Gabriel lui-même lorsqu’il est…
Pour faire écho aux méditations du chapelet que nous publions régulièrement, voici une autre manière légèrement différente quoique très ancienne de dire le chapelet : celle d’insérer des clausules.Ces clausules du chapelet sont l’écho des anciennes Litanies du Saint Nom de Jésus, et par ce fait sont en lien direct avec la longue tradition orientale de la Prière du Cœur, appelée aussi Prière du Nom de Jésus.Le pape saint Jean-Paul II a déclaré dans sa Lettre apostolique consacrée au Rosaire « Rosarium Virginis Mariae » : « Le centre de gravité de l'Ave Maria, qui est presque comme une charnière…
Par Ève a été détruite la gloire de l’homme, avec sa beauté et son amabilité ; mais avec Marie, elle a refleuri. Ève, resplendissante de gloire et d’honneur, n’a pas voulu résister au serpent vil et méprisable, alors que ses propos apparaissaient peu sûrs et qu’il aurait fallu les éprouver par le feu ; en outre, on pouvait voir qu’elle était elle-même étincelante de lumière, et qu’il était, lui, misérable et abject. Admirons donc Marie, qui prit à partie le grand archange, sans trembler, s’informa sans s’effrayer. Ève n’osa même pas interroger l’ignoble serpent privé de pattes, alors qu’une jeune…
