Les cierges symbolisant les quatre semaines de l'Avent
Synthèse pour le lecteur pressé Le temps de l’avent est marqué par deux caractéristiques majeures. La première est liturgique et situe le temps de l’avent à l’entrée de l’année liturgique. Composé de quatre semaines dominées par la couleur violette, l’avent est le temps qui nous conduit aux festivités de la naissance de Jésus. La deuxième est d’ordre spirituel. Le temps de l’avent est par excellence le temps du désir du salut de Dieu, de l’attente dans l’espérance et de la préparation dans l’amour. Il y a souvent dans les homélies et les enseignements au sujet du temps de l’avent un…
Les cierges symbolisant les quatre semaines de l'Avent
Synthèse pour le lecteur pressé Le mot « avent » vient du latin « adventus » et signifie « avènement ». Cet avènement concerne plus la venue dernière du Fils de l’homme à la fin des temps que sa naissance sur la terre. Le temps de l’avent, sous ce rapport est le temps par excellence, pour que le chrétien ne perde pas de vue l’horizon de la venue de Jésus et la nécessité de préparer cette venue. On comprend alors que toute notre vie sur la terre est un temps de l’avent, un temps que Dieu nous accorde pour que nous nous préparions à être nets…
Les chrétiens se signent de trois petites croix sur le front, la bouche et la poitrine. Ce geste signifie que la Parole de Dieu doit être accueillie comme la Vérité divine, proclamée à toute la création et conservée dans le cœur. Même si on connaît le sens de ces gestes, l’Église n’indique pas qu’on doit accompagner ce geste d’une parole.Nombreux sont ceux qui se posent des questions sur les différents gestes lors de la célébration de la sainte messe. Devant toutes ses préoccupations pertinentes, ressortent les trois signes de la croix faits par les chrétiens avant la proclamation de l’Évangile.Que…
La liturgie est pleine de symboles. Pour les Anciens, les mystères chrétiens étaient considérés comme des vérités trop profondes et trop riches pour pouvoir être appréhendées et exprimées uniquement à l’aide d’un discours humain. Tout mystère, pour être communiqué aux hommes, doit également être exprimé par le biais de symboles, qui permettent à l’âme de « saisir » intuitivement « quelque chose » du mystère tout en le respectant en tant que mystère. Ainsi en est-il de la question des cierges : ceux-ci ne sont pas qu’un pur élément décoratif mais leur nombre, leur disposition, leur aspect expriment, par le biais…