Dieu, mon âme-sœur et moi

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La question du choix de l’âme-sœur est cruciale et se pose avec insistance, à mesure que le temps passe, aux jeunes sortant de l’adolescence. Elle devient une casse-tête pour beaucoup. Pour n’avoir pas voulu l’affronter, beaucoup de jeunes garçons et de jeunes filles ont multiplié les déceptions amoureuses et, aujourd’hui, commencent à se ronger le bout des ongles. L’espérance n’est pourtant pas perdue pour ceux qui entreprendront de lire cet article et de rentrer dans cet état d’esprit.

1. À identité différente, solution différente

Il est important avant tout de savoir qu’un chrétien ne peut entreprendre de rechercher son âme-sœur à la manière d’un non-chrétien. Aussi excellents que soient les conseils donnés sur les plateformes et dans les livres, il convient de savoir que, tant que l’identité chrétienne n’est pas prise en compte dans les suggestions et les indications, il manque un aspect important de discernement, peut-être même l’aspect primordial et le plus fondamental. Il faut donc que le chrétien sache qu’aucun choix juste de l’âme-sœur ne peut se faire s’il ne se fait pas dans le Seigneur, c’est-à-dire en considérant le point de vue de Dieu dans le choix du futur conjoint.

Le Seigneur Jésus nous invite à bâtir notre maison sur sa Parole. Il s’agit non seulement de sa propre vie, mais de tout ce qui implique notre vie. À ce niveau, le mariage engage totalement notre vie de manière définitive. Il est donc plus que vital de fonder nos choix sur l’enseignement de la Parole de Dieu. À ce propos, j’insisterai sur deux aspects : le premier concerne celui qui choisit et le second celui sur qui porte le choix. Que nous enseigne la Parole de Dieu à ce sujet ? Pour le découvrir, nous nous aiderons de deux questions qui se basent toutes sur la relation d’époux/épouse que Dieu nourrit avec son peuple.

  • Quelles sont les qualités propres que nous découvrons en Dieu dans sa relation avec Israël ?
  • Qu’est-ce que Dieu réclame à Israël son épouse ?

2. Dieu est amour, gratuité, fidélité et sauveur

Dieu, en tant qu’époux d’Israël, nous manifeste quatre attributs qui pourraient aider celui qui veut choisir son conjoint en impliquant le Seigneur.

Dieu est amour

Celui prétend choisir son conjoint en tenant compte de Dieu doit tout d’abord être rempli d’amour. Être amoureux ne suffit pas. Il faut certainement avoir de l’amour en soi et ne pas attendre que cet amour soit provoqué par l’autre. Bien souvent, dans les relations que les jeunes entretiennent pour mener vie commune, on entend les cheminants dire : « il ne me fait rien pour me motiver à l’aimer ». On ne construit pas une relation aussi sérieuse que celle qui conduit au mariage en comptant sur l’amour de l’autre pour soi, mais bien sur l’amour que l’on a pour l’autre. Les relations les plus fécondes dans la durée sont celles qui se renouvellent, non pas à partir du comportement de son vis-à-vis, mais à partir de la qualité de l’amour que l’on a en soi. Saint Jean le dira avec précision : C’est Dieu qui nous a aimés le premier, alors qu’on en était complètement indigne.  

Dieu est aussi gratuité

Le choix que le Seigneur fait de son peuple ne procède pas du mérite de ce peuple. Bien souvent, le peuple d’Israël a rompu l’alliance par ses adultères et ses prostitutions répétées. Israël n’avait ni beauté, ni mérite, ni valeur pour que le Seigneur le choisisse. Cette gratuité est importante dans le choix de son conjoint. La jeune fille et le jeune garçon ne se choisissent pas sur la base d’un contrat des qualités, des marchandages ou des mérites. « Je l’aime, un point final ». « Et pour quelle raison l’aimes-tu autant ? » « Je n’en sais rien ». « Qu’attends-tu d’elle ou de lui ? » « Rien sinon que son oui ». Voilà la justification principale d’un amour gratuit. De plus en plus, notre société semble évacuer la gratuité de toute relation sentimentale. On parle même de partenaire, une expression qui n’est pas chrétienne. Le partenariat suppose des gains, en sorte qu’on peut toujours le rompre. L’expression en elle-même ouvre sur la perspective d’une rupture de partenariat.

Dieu est fidélité

Alors qu’aujourd’hui le mot semble faire rire notre génération (les gens n’y croient plus), le choix du conjoint qui veut se fonder sur Dieu doit mettre un point d’honneur sur la fidélité. C’est une valeur que doit posséder celui qui choisit pour la stabilité de la relation. La fidélité dont il est question est la fidélité à l’engagement envers l’autre. Dieu s’est engagé envers Israël en concluant une alliance avec ce peuple. Cet engagement est irrévocable. La fidélité dans l’engagement que l’on prendra envers l’autre doit déjà être une qualité à développer. Il faut apprendre à être fidèle dans les petites choses pour l’être dans les grandes. Si déjà on n’est pas fidèle à soi-même, comment peut-on être fidèle dans sa relation avec l’autre ? Dieu, lui, est fidèle à Israël, malgré et contre toutes perturbations de leur relation parce qu’il s’appelle Fidélité.

Dieu est sauveur

« Sauveur » en ce sens qu’il fait advenir la vie et la promeut. Dieu compare Israël a une petite fille abandonnée dont il s’est occupé jusqu’à ce qu’elle devienne une belle fille gracieuse. Celui qui veut impliquer Dieu dans la gestion de sa relation amoureuse doit comprendre que le choix dans l’amour doit améliorer la qualité de vie de l’autre. Il ne s’agit pas vraiment de combler de biens matériels comme la tendance se développe aujourd’hui. C’est d’abord que la relation amène à une meilleure qualité de vie les deux personnes qui sont en discernement. Une relation amoureuse qui peut conduire au mariage doit permettre à l’un et l’autre de grandir dans leur personne. Dès lors qu’on évacue l’apport qualitatif qu’on peut offrir à l’autre, c’est qu’il y a un vice dans la manière de choisir. Ceci peut devenir un critère de discernement pour le vis-à-vis. Malheureusement, beaucoup de personnes ne voient que les avantages matériels pour jauger leur relation. Que d’erreurs avec ce seul critère !

Ces qualités que j’ai énumérées n’épuisent pas les attributs divins qu’une personne qui veut se marier dans le Seigneur doit développer. Il y en a bien d’autres. Dieu est patient, miséricordieux, plein de pardon, longanime, etc. Celles que nous avons identifiées sont caractéristiques pour avancer avec sérénité. Avant de conclure, je crois important de préciser que ces qualités valent autant pour l’homme que la femme. Elles font partie du fond commun que l’un et l’autre doivent partager pour fonder un foyer qui plaise au Seigneur. Nous verrons ensuite les qualités relationnelles basiques qu’une personne qui prétend se marier dans le Seigneur et qui veut avoir un foyer stable doit rechercher chez son conjoint. Voici la question : « Qu’exige Dieu de son épouse Israël ? »

Qu’exige Dieu de son épouse Israël : Indices pour le choix

Nous voici à la deuxième manche de notre recherche sur la manière d’impliquer Dieu dans le choix de son âme-sœur et dans son mariage. Dans la première partie, nous avons posé notre regard sur Dieu, pour contempler certaines qualités fondamentales que les futurs conjoints doivent posséder. À la manière de Dieu, le futur époux ou la future épouse, s’il ou elle veut se marier dans le Seigneur, doit vivre d’amour, de gratuité, de fidélité et être un canal de croissance en bien pour l’autre. Il sera inutile en effet de rechercher l’époux parfait ou l’épouse convenable pour soi-même si nous sommes nous-mêmes aux antipodes de ce que nous exigeons des autres. Le Seigneur dit : « La mesure dont vous vous servez pour les autres, servira aussi pour vous ».

Après avoir regardé Dieu, nous irons à la quête des qualités basiques que le Seigneur exige de son épouse Israël et que toute homme et toute femme doivent être en mesure d’attendre de celui ou celle que le Seigneur lui indiquera pour la construction de sa vie conjugale. Nous nous laissons guider, pour ne pas nous égarer, par la lumière de la Parole de Dieu. Nous nous éclairons avec Deutéronome 10, 12-13. Que dit le texte ?

Deutéronome 10, 12-13

Et maintenant, sais-tu, Israël, ce que le Seigneur ton Dieu te demande ? Craindre le Seigneur ton Dieu, suivre tous ses chemins, aimer le Seigneur ton Dieu, le servir de tout ton cœur et de toute ton âme, garder les commandements et les décrets du Seigneur que je te donne aujourd’hui pour ton bien.

Voilà les conditions du Seigneur pour faire alliance avec Israël. Quelles sont les conséquences pour celui qui doit choisir son âme-sœur ?

Évacuation des faux critères de choix

À voir de près ce texte, il y a des critères de choix qui sont courants aujourd’hui et que le texte semble ignorer. D’ailleurs les livres sapientiaux vont dans ce même sens. Dieu n’a pas demandé à Israël de tout faire pour être séduisante, d’être belle et rutilante. Or, il se fait que, de plus en plus, l’un des premiers critères sur lesquelles les hommes et les femmes de notre siècle tablent pour se choisir, est l’attirance physique. C’est choisir selon l’esprit du monde. Dieu semble ignorer complètement ce critère ou, pour être plus vrai, Dieu le met sur un autre plan.

Ce n’est pas au conjoint de travailler pour sa propre beauté et ainsi attirer l’autre, mais c’est à celui qui choisit dans le Seigneur, de s’investir pour que le sujet de son choix s’embellisse. C’est si vrai que, dans Eph 5, 25-29, la Parole de Dieu nous dit que le Christ-Époux se sacrifie entièrement pour prendre soin de son Épouse l’Église, afin de la rendre plus belle, resplendissante, sans tache ni ride, etc. Cette même vérité se perçoit dans la pédagogie de Dieu vis-à-vis du peuple de la première alliance. Dieu voit Israël dans les décombres et travaille à ce qu’elle devienne une belle fille désirable et épousable. C’est au futur mari de travailler à la beauté de sa future épouse et à la future épouse de travailler à la beauté de son futur époux. L’attention que l’un porte à l’autre pour une meilleure présentation extérieure et intérieure respecte mieux la perspective de Dieu que l’effort que nous fournissons individuellement au plan physique pour impacter et influencer le choix.

Un autre critère est l’origine raciale. Dans nos cultures, on interdit souvent aux enfants de familles ou de cultures X de se marier à ceux de cultures Y. D’un point de vue strictement social, l’interdiction peut se comprendre et même se défendre. Néanmoins, ce critère ne peut persister si nous formons une communauté dans le Christ. Un chrétien d’une aire culturelle X peut bien se marier à un autre chrétien d’une autre position géographique. Mais un chrétien catholique ne devrait pas, de choix, se marier à un païen, ni à une personne qui ne partage pas sa foi et ses valeurs. Lire utilement à ce sujet 2 Co 6,  14-17 : « Ne vous mettez pas avec les infidèles sous un joug étranger. Car, quel rapport y a-t-il entre la justice et l’iniquité ? ou qu’y a-t-il de commun entre la lumière et les ténèbres ? Quel rapport y a-t-il entre le Christ et Bélial ?… »

Le dernier critère qu’il me semble important de signaler, juste par allusion, est la capacité financière de celui sur qui le choix doit porter. S’il est vrai qu’il faut systématique éviter un paresseux et une paresseuse, il ne faut pas discriminer une personne dans le choix que nous devons porter sur elle à cause de ses difficultés financières.

Le seul critère pour choisir son conjoint est la crainte du Seigneur

Ce titre peut surprendre et paraître péremptoire. Cela me l’était au moment où j’écris ces mots mais je me suis contraint à ne pas imposer mes points de vue à la Parole de Dieu. À lire de prêt le texte, l’unique exigence que le Seigneur formule pour Israël est la « crainte du Seigneur » : « Il attend seulement de toi que tu craignes le Seigneur ton Dieu… » (Dt 10, 12b). Pour cela, nous avons à comprendre ce qu’est cette « cette crainte du Seigneur » et ses manifestations.

Craindre le Seigneur ne signifie pas avoir peur de Dieu, comme un domestique aurait peur de son maître au point de développer une relation finalement strictement légale avec lui. Craindre le Seigneur ne nous installe pas dans le registre de la peur, du strict respect des commandements. Craindre le Seigneur signifie avoir un profond respect pour le Seigneur en tenant compte de son point de vue dans tout ce que nous avons à faire et à entreprendre. Il s’agit de la crainte (respect) qu’un fils a vis-à-vis de ses parents.

La crainte du Seigneur se voit dans la manière de vivre d’un homme. C’est du reste cela qu’il faut observer chez celui ou celle que vous devrez choisir. Comment une personne manifeste-t-elle qu’elle a la crainte du Seigneur ? La Parole qui nous sert de Lumière nous éclaire à suffisance.

  • Premier indice : « En suivant tous les chemins du Seigneur » : Se mettre à la suite de Dieu et se laisser guider par lui.
     
  • Deuxième indice : « En aimant et en servant le Seigneur ton Dieu de tout ton cœur, de tout ton être » : Aimer le Seigneur sans partage et ne permettre à personne de prendre sa place dans votre vie.
     
  • Troisième indice : « En gardant les commandements du Seigneur et les lois que je te donne aujourd’hui, pour ton bonheur » : Obéir aux commandements de Dieu et aux dispositions de l’Église

Ces trois indices méritent de longs développements pour permettre à ceux qui entreprennent de choisir leur âme-sœur dans le Seigneur d’y voir plus clair. J’insiste cependant sur ceci : la lecture des trois indices nous montre que la « crainte du Seigneur » dont il est question est exigeante. Il ne s’agit pas de sentiments, ni de prières interminables à l’Église, ni d’avoir la Parole de Dieu à la bouche. On a vu des gens qui dorment pratiquement à l’église mais dont le cœur est loin de craindre le Seigneur.

Il s’agit de vie concrète, dans la durée, à partir de la Parole du Seigneur, d’un attachement indéfectible à Dieu par l’amour mais aussi dans le respect des normes fixées par Dieu et son Église à travers ses serviteurs. La première grâce à demander est toujours et partout cette crainte du Seigneur car elle nous permet de mener une vie bonne selon le Seigneur. Un homme ou une femme qui craint le Seigneur ne manquera d’aucun bien (Cf. Ps 34, 10). Choisir quelqu’un qui a une profonde crainte pour le Seigneur, c’est faire le choix du jackpot. Celui qui craint le Seigneur est en effet est humble, simple, vrai, fidèle, juste, etc. Il ne manque d’aucun bien.

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Abbé Jean Oussou-Kicho

Je suis prêtre de l’archidiocèse de Cotonou (Bénin), ordonné en 2008, licencié en théologie morale. Directeur de complexe scolaire, je suis investi dans la pastorale des réseaux sociaux, devenus un nouveau terrain propice pour l’évangélisation et l’éducation des chrétiens

Cet article a 26 commentaires

  1. Raoul

    Merci beaucoup mon père. J’ai vraiment été édifié… Merci

  2. NAKENA Ayirihoudje Emmanuel

    Merci padré. Le texte est en effet très instructif. Il vient aidé nombreux d’entre nous qui sont dans le processus de se marier.

  3. Stéphane

    Mais pourquoi les chrétiens catholique épouse des musulmans or il ne partage pas la même foi en nôtre seigneur Jésus

    1. Emefa

      Salut, il est possible que je me trompe. Toutefois, je pense que la bible fait allusion aux païens qui vénèrent plusieurs dieux. Alors que si nous prenons nos frères musulman, ils sont montheistes et croient en Dieu.

      1. Frère Hervé

        La Bible ne peut faire allusion aux musulmans car l’islam a vu le jour après que la Bible ait été constituée. Toutefois, l’Eglise n’approuve que le mariage entre catholiques. Le mariage entre une personne catholique et une personne qui ne l’est pas est un empêchement au mariage sacramentel : https://unpretrevousrepond.org/les-empechements-dirimants-au-mariage-catholique/

  4. Honorat

    Merci beaucoup cher Père pour ces éclaircissement à l’endroit de nous les jeunes, c’est simplement édifiant. Chers jeunes, prenons simplement garde et agissons selon la volonté de notre Seigneur Jésus-Christ. Merci beaucoup

  5. Marthe

    C’est très profond. Vous faites un bon travail Révérend Père. Que Dieu vous aide!

  6. Pélagie

    Merci beaucoup mon père pour cet enseignement qui va plus m’aider à faire ce que Dieu me veut.

  7. KABORE Jean

    J’ai beaucoup aimé, j’ai trouvé mon compte merci infiniment mon père, puisse Dieu vous éclairer davantage

  8. Ange expedit

    Merci mon père, pour cet article très édifiant qui va vraiment nous aider dans le choix de nos conjoints, que Dieu vous inspire davantage.

  9. Hounsou

    Merci beaucoup pour cet article très instructif.
    À l’heure où je vous parle cet article est en train de changer deux de mes amies qui sont chrétiennes catholiques et qui ont abandonné le chemin du Christ il y a deux semaines à qui j’envoie chaque fois les liens. Soyez bénis Cher Père

    1. KILO pehedounam christophe

      Merci beaucoup mon père s’il vous plais mon père je voudrais vous poser cette question mis à part des choix hors chrétien es ce possible de choisir son âmes soeur dans les églises qui naissent de jour en jour

      1. Frère Hervé

        Bonsoir, le sacrement du mariage ne peut être échangé qu’entre chrétiens catholiques.

        1. Ngalamulume

          Merci beaucoup mon Père, vous êtes fidèle dans le petite chose, va à gloire de Dieu

    2. Kuassi Sévérin HOUNGBO

      Moi personnellement,j’ai aimé ce contenu.Vraiment il est édifiant.Si tous les jeunes pouvaient avoir de telles pensées dans leur choix de conjoint,on ne connaîtrait pas de foyers en difficulté.Sincèrement sans vous mentir,c’est à cause de ça je suis toujours sans copine mais je sais que l’heure de Dieu est la meilleure.

  10. Victoire Kegnanh

    Merci beaucoup mon père,que le Seigneur même nous aide à les mettre en pratique

  11. HOUNSOU

    Merci beaucoup chère père. Cet article est comme une lumière qui vient de s’installer en moi. J’en avais vraiment besoin.

  12. Grégoire DIMEKOI

    Merci beaucoup mon père… Que le seigneur vous bénisse abondamment

  13. MEDEHOUEGNON

    Merci beaucoup père pour ce travail que vous faites pour nous les chrétiens pour qu’il y ait la paix dans nos foyers

  14. Moïse Boni

    Merci cher Père pour cet enseignement qui doit faire le tour de plusieurs forums, afin de nous réveiller davantage. Grâce et paix

  15. Hounseya Roland

    C’est très primordial merci beaucoup padre

  16. Ahodatin Hortense

    Merci mon père

  17. Rose

    Que Dieu nous aide dans nos choix en tant que chrétiens catholique

  18. Loumouangani jérôme

    Merci père ! Mais quand je lis 1co7:12-17, je me sens un peu perdu sur ce que vous avez dit sur “l’Évacuation des faux critères de choix” que le chrétien catholique ne peut pas choisir comme âme soeur, un païen… En évoquant 2co6:14-17. Est ce que Saint Paul ne contredit pas par hasard ?

  19. Charles TCHIKITI

    Le contenu de cet article est très édifiant.
    Merci beaucoup Père pour tout ce que vous faites en vue de sauver les âmes.

  20. Nicolas

    Le contenu est vraiment intéressant
    Merci beaucoup mon père que le seigneur vous accorde plus de sagesse

Les commentaires sont fermés.